Le chef de file de l’opposition politique du Burkina Faso au cours d’une conférence de presse, le 7 février 2017, a estimé que la première année de gestion du président Kaboré est « Une année perdue pour le Burkina Faso ».
« Une année perdue pour le Burkina Faso » marquée par des « tâtonnements », un « pilotage à vue », de « l’indécision à des moments cruciaux ». Ils l’ont exprimé en ces termes : « Après un an de pouvoir du nouveau ancien régime, la déception est généralisée et l’espoir pour un vrai changement au Burkina Faso s’éloigne ».
A les en croire, cela est dû à la nomination d’un « premier ministre par défaut ». A côté de cela, le mémorandum de 68 pages constate la non-maitrise du front social et regrette la relance de l’économie qui se fait toujours désirer. Au regard de tout cela, l’opposition s’interroge : « Où est le Roch la réponse ? Où est une parole, une action ? ».
Mariam KANDO