En effet, il n’est pas rare de constater que des organisateurs de conférence de presse, notamment des Organisations de la société civile, des Organisations syndicales et des partis politiques, invitent leurs militants et sympathisants à investir les lieux, sinon les places réservées aux journalistes, qui devraient être en de pareilles circonstances les privilégiés.
Conséquences, on assiste à des conférences de presse aux allures d’assemblée générale qui ne facilitent pas du tout pas la tâche aux journalistes obligés de faire des pieds et des mains pour bien écouter dans le vacarme, les conférenciers. Certains journalistes, qui sont souvent obligés de se lever pour déposer qui un dictaphone, qui un micro ou qui pour faire des photos, voient leurs places même occupées par des gens.
Et, ces conférences aux allures d’assemblée générale, mettent même en danger les journalistes surtout lorsque, ceux-ci doivent poser des questions qui fâchent.
Wakat Séra vise à travers cet écrit, à interpeller tous les responsables des médias afin que des solutions idoines soient trouvées à cette situation qui devient de plus en plus préoccupante, surtout à l’approche des élections municipales, législatives et présidentielle de 2020.Changeons donc un jour!
Par Mathias BAZIE