Le Gouvernement burkinabè de la Transition, dans un communiqué en date du 8 janvier 2022, dit « regretter profondément les propos haineux ou aux relents ethnicistes constatés ces derniers temps sur les réseaux », qui se sont amplifiés, selon lui, depuis la survenue du drame de Nouna. Ainsi, il « met en garde les personnes qui se rendront coupables d’incitation à la violence et la haine » et invite toutes les personnes victimes de menaces à saisir sans délai les structures compétentes. Selon le document signé par le ministre de la Communication, Jean Emmanuel Ouédraogo, « force restera à la loi ».