Ceci est un écrit du service de communication du ministère burkinabè de l’Urbanisme, des Affaires Foncières et de l’Habitat qui œuvre à l’encadrement du marché des parcelles à usage d’habitation. Après avoir commandité une étude visant à fixer un prix plafond à ces parcelles, le ministère à sous le rapport de cette étude pour examen en atelier le mardi 19 mars 2024.
«Encadrer au mieux le marché des parcelles à usage d’habitation, c’est ce à quoi s’attèle le ministère en charge de l’Habitat.
En effet, le département a commandité une étude visant à fixer un prix plafond à ces parcelles.
Le rapport de ladite étude a fait l’objet d’un atelier dans la matinée de ce mardi 19 mars 2024 à Ouagadougou.
Pour le secrétaire général du ministère en charge de l’habitat, Maxime TIENDREBEOGO qui a présidé la cérémonie d’ouverture de cet atelier, il est nécessaire pour l’Etat, de prendre les mesures “adéquates, contraignantes, robustes” qui s’imposent pour le plafonnement des prix des parcelles à usage d’habitation.
Il s’agira essentiellement d’identifier, au cours des travaux, les principaux leviers qui permettront d’asseoir une régulation efficace du marché foncier en vue de contenir la croissance exponentielle des prix des parcelles à usage d’habitation.
C’est pourquoi Maxime TIENDREBEOGO a appelé à un examen sans complaisance afin de disposer d’un document consolidé assorti de fortes recommandations pour la suite du processus.
Pour rappel, le Premier Ministre avait, lors d’un passage à l’Assemblée législative de Transition (ALT), évoqué l’urgence d’un encadrement du marché foncier afin de limiter la spéculation foncière.»
DCRP/MUAFH