Les dirigeants des États membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, lors d’un sommet au Nigeria, le 12 décembre 2021, n’ont pas varié leur position quant à la tenue des élections au Mali et à la Guinée.
Ils ont brandi des sanctions supplémentaires dès janvier sans engagement des autorités de ces pays dans ce sens.
Pour le cas du Mali, les chefs d’Etats ont décidé de « l’entrée en vigueur de sanctions additionnelles en janvier 2022 », a dit devant la presse le président de la Commission de la CEDEAO, Jean-Claude Kassi Brou.
En ce qui concerne la Guinée, la CEDEAO a maintenu les sanctions contre la junte, qui a pris le pouvoir en Guinée le 5 septembre à la faveur d’un putsch. Ils ont réclamé un calendrier de retour des civils à la tête du pays.
Par Wakat Séra