Les films Les Résonances de l’âme et Les Tourneurs du temps, du réalisateur burkinabè vivant en Autriche, Eric Kibidoué Bayala, ont été primés au Festival international du Film Panafricain (FIFP) de Cannes en France. Le film documentaire Les Résonances de l’âme est en compétition dans un autre festival dénommé «l’Afrique fait son Cinéma» qui se déroule à Paris. Ce film a été présenté au Marché international du cinéma africain (MICA) au 27e FESPACO le 18 octobre dernier.
Les mérites du cinéaste, réalisateur, producteur, scénariste et écrivain burkinabè vivant en Autriche, Eric Kibidoué Bayala ont été reconnus au Festival international du Film Panafricain de Cannes en France. En effet, son film, Les Résonances de l’âme, qui était en compétition pour le prix du meilleur film documentaire, a obtenu la mention spéciale du jury long métrage documentaire. Il s’agit d’un prix spécial de ce festival qui en était à sa 18e édition avec plus de 60 films de plus de 30 pays venus d’Afrique, d’Amérique, d’Asie, d’Europe, des Caraïbes et du Pacifique.
En plus de ce prix raflé, Eric Kibidoué Bayala a également vu ses deux productions, Les Résonnances de l’âme et Les Tourneurs du temps, remporter le prix Dikalo de la paix de l’association Nord Sud Développement pour le Dialogue des Cultures.
Le Festival international du Film Panafricain (FIFP) de Cannes était à sa 18e édition qui s’est tenue du 19 au 24 octobre 2021. Ce festival a été créé et fondé en 2006 par le Franco-camerounais Ngangue Ebelle Eitel Basile avec l’association Nord Sud Développement. Le Dikalo Awards («message» en langue Douala-Cameroun) est le prix de ce festival, qui est décerné par un jury professionnel aux meilleurs long et court métrages fiction, aux meilleurs long et court métrages documentaire. Il y a également le Dikalo de la paix, celui du meilleur acteur et de la meilleure actrice.
Après le Festival international du Film Panafricain (FIFP) de Cannes, le réalisateur burkinabè Eric Kibidoué Bayala se trouve à Paris où il participe à un autre festival dénommé «l’Afrique fait son Cinéma». Son film documentaire, les Résonances de l’âme est en compétition à ce festival.
Ce film a déjà été projeté au plus grand festival du cinéma panafricain, le FESPACO, qui était à sa 27e édition et dont l’Etalon d’or de Yennenga, le plus grand prix, a été remporté par le réalisateur somalien Khadar Ahmad à travers son long métrage «La Femme du fossoyeur».
Par Siaka CISSE (Stagiaire)
