La Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP), dans une ordonnance provisoire, a « ordonné », ce 22 avril, à l’État ivoirien de « surseoir à l’exécution du mandat d’arrêt » émis contre Guillaume Soro.
On se rappelle que depuis le 23 décembre 2019, l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne est sous le coup d’un mandat d’arrêt international pour « tentative d’atteinte à l’autorité de l’État et à l’intégrité du territoire national et de détournements de fonds publics».
La Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, institution de l’Union africaine basée à Arusha, en Tanzanie avait été saisie début mars par Guillaume Soro et ses proches.
L’instance judiciaire de l’Union africaine a aussi demandé la remise en liberté de 19 de ses proches emprisonnés depuis 4 mois.
Par Wakat Séra