Suite à l’appel du Chef de l’Etat à toutes les compétences pour trouver un traitement contre le coronavirus (COVID 19), nous proposons une solution qui vient de l’olivier, connu depuis des millénaires pour ses vertus thérapeutiques. Nous sommes convaincus qu’OLIVSY® (extrait de la feuille d’olivier) est un candidat sérieux pour le traitement du COVID -19. Selon le Dr Morton Walker, c’est le plus puissant antiviral naturel connu de nos jours (cf. page 34 de son livre mentionné dans la bibliographie.). OLIVSY® est formulé et fabriqué aux USA. L’olivier est après tout un pur produit de la nature.
On pourrait se poser la question de savoir pourquoi dans les pays où poussent l’olivier et ou on trouve l’extrait sur les marchés, les gens meurent par milliers. Probablement parce qu’on a du mal à comprendre, ou à accepter qu’une nouvelle Pandémie comme la COVID 19 qui bouleverse le monde entier à tous points de vue, puisse être soignée par l’extrait de la feuille d’un arbre comme l’olivier.
Il y a actuellement trois axes de recherche d’un traitement :
- Comment empêcher le virus de se répliquer dans l’organisme, pour ralentir et stopper l’infection ;
- Comment réduire l’inflammation spectaculaire et potentiellement mortelle qu’il provoque chez les cas les plus graves (la « tempête de cytokines ») ;
- Comment doter l’organisme d’anticorps qui l’immunisent contre ce coronavirus – c’est la recherche vaccinale.
En ce qui nous concerne, pour les deux premiers axes, comme vous le verrez dans le développement ci-dessous, l’extrait de la feuille d’olivier peut être une réponse à ces deux préoccupations d’une part et d’autre part le zinc et la vitamine D.
Selon la littérature scientifique, l’extrait de la feuille d’olivier est un puissant anti-virus à large spectre.
Ainsi, nous présentons ci-dessous ce qui est susceptible d’être une contribution de la médecine alternative et dont l’origine remonte à des millénaires. Nous voulons parler de l’olivier au travers de l’extrait de sa feuille.
Sachez qu’aux premières heures de la pandémie, certains des premiers patients et leurs personnes contacts l’ont déjà utilisées au moment où aucun traitement n’était pratiquement dispensé et ils ont vu leur état se stabiliser.
Selon un article de la revue scientifique Nature, publié le 24 juin 2020 [1] , des scientifiques ont identifié le “talon d’Achille” du coronavirus. C’est-à-dire, son point faible. D’après la revue, cette avancée peut sonner la fin de la partie pour le coronavirus. Elle explique que les chercheurs ont identifié la protéine que le virus utilise pour pénétrer les cellules humaines.
Or l’extrait de la feuille d’olivier parmi ses méthodes d’action décrites ci-dessous est capable non seulement d’empêcher la pénétration du virus dans les cellules humaines, mais de pénétrer dans les cellules déjà infectées et bloquer la réplication virale.
De la problématique des infections virales.
Depuis plusieurs années les apparitions et attaques de virus accaparent les grands titres de l’actualité internationale. Les virus dans beaucoup de cas constituent un véritable ‘’ casse-tête’’ pour la médecine moderne
Les agents de la dengue, du chikungunya, et de la maladie Ebola sont d’autres virus dangereux qui sévissent sur notre planète. Il pourrait en exister bien d’autres, bien plus redoutables encore, qui attendraient les conditions propices pour sévir comme le SARS-Cov-2, agent de la COVID 19.
S’agissant de la dengue, lorsque les premiers cas sont apparus au Burkina Faso, il avait été avancé qu’il n’y avait ni vaccin, ni traitement spécifique à cause de son origine virale.
Pourtant cela fait des années qu’un grand nombre de malades de la dengue ont été guéris par la prise d’OLIVSY. De hautes personnalités burkinabè et pas des moindre peuvent témoigner de son efficacité. Le monde de la recherche s’intéresse au potentiel de l’extrait de la feuille d’olivier contre la dengue qui est un problème de santé publique.
En son temps nous avions publié deux articles pour exposer les possibilités thérapeutiques de la médecine alternative contre la dengue (cf. les numéros 269 du 10 décembre 2013 et 339 du 10 décembre 2016 du bimensuel l’Evènement.).
Le potentiel antiviral de l’extrait de la feuille d’olivier selon le Dr MORTON.
Dans l’excellent livre du Dr MORTON WALKER intitulé ‘’L’extrait de feuille d’olivier’’ [2] on peut lire s’agissant de l’importance de l’extrait de la feuille d’olivier contre les virus que « le traitement des maladies causées par les virus posent d’autres problèmes complexes. A cause de la nature du microbe, il y a peu de médicaments virucides possibles. Les virus sont des parasites qui vivent dans les cellules vivantes, aussi est-il difficile de fabriquer un agent pharmaceutique capable de les tuer sans tuer aussi les cellules de l’organismes hôte. C’est pourquoi, l’industrie pharmaceutique n’a pratiquement produit aucun médicament virucide. Et ceux qui existent ne sont utilisés que pour les malades gravement atteints, ou pour ceux souffrant d’une déficience du système immunitaire. Jusqu’ à ce que l’extrait de la feuille d’olivier soit connu comme en tant qu’antivirus, nous ne devrions compter que sur notre système immunitaire pour combattre les infections virales »
Cet extrait nous permet de comprendre pourquoi certains virus demeurent jusqu’à nos jours un véritable casse-tête pour la médecine et surtout pour l’industrie pharmaceutique qui l’approvisionne.
Par ailleurs dans un document rapport d’évaluation intitulé : Assessment report on Olea europea L [3] ; on peut lire à la page 15/54 que l’extrait de la feuille d’olivier empêche l’entrée du virus dans les cellules, ce qui est une intéressante caractéristique.
A la page 27-28 /54 il est fait mention de sa capacité à pénétrer dans les cellules infectées et bloquer la réplication virale.
Dans le cas spécifique de la COVID 19, le monde entier est à la recherche d’un antiviral. L’équation difficile à résoudre est : comment « tuer » le virus qui prend en otage le matériel génétique de la cellule de l’hôte sans tuer aussi les cellules de l’organismes hôte. En tuant le virus, on détruit la vie de la cellule hôte. C’est pourquoi, il n’y a pratiquement aucun médicament virucide efficace, et sans effets secondaires pour le moment.
Vous allez voir que l’extrait de la feuille d’olivier est capable de résoudre cette équation.
Qu’est-ce qu’un virus ?.
Les virus sont la forme de vie la plus petite qui soit connue actuellement. Ils sont situés à la frontière entre la matière inanimée et la vie. Un virus demeure inactif tant qu’il n’a pas envahi une cellule hôte ; lorsque les conditions lui sont favorables, par un système immunitaire affaibli, conséquence d’abus de drogues ou de médicaments, du stress ou d’une alimentation inadéquate, il utilise alors le matériel de la cellule infectée pour se multiplier. La plupart des chercheurs et des médecins reconnaissent qu’en l’absence de médicaments véritablement efficaces, le meilleur moyen pour venir à bout d’une infection virale est de stimuler et soutenir au maximum notre système immunitaire. L’organisme dispose d’un arsenal imposant pour faire face à l’attaque d’un virus. Notamment par la formation d’anticorps localisés dans le sérum. Le système immunitaire lorsqu’il fonctionne normalement saura prendre les mesures défensives nécessaires pour vaincre le virus.
Au-delà de notre système immunitaire, la nature met à notre disposition des plantes qui sont des immunostimulants et de véritables puissantes armes antibactériennes et antivirales. Parmi ces solutions naturelles, il y a l’olivier par l’extrait de sa feuille.
L’olivier et l’extrait de la feuille d’olivier.
L’olivier sauvage existait au Sahara, il y a environ 11.000 ans avant notre ère et sa domestication remonterait à 4.000 à 3.000 avant J.-C.
Son histoire commence au moment du déluge : c’est en effet avec un rameau d’olivier dans le bec qu’une colombe vint annoncer la fin du déluge à Noé qui était réfugié dans son arche qui était construit en bois d’olivier. Ce fut le seul arbre qui fut sauvé du déluge, tous les autres durent être recréés.
Quelques milliers d’années plus tard, dans Ézéchiel 47 :12 dans l’Ancien Testament (version Louis Segond), Dieu parle d’un arbre : « Son fruit sera pour la nourriture, et sa feuille de remède.
Plus loin dans Le livre d’Apocalypse (22 : 2 version Louis Segond), il y a une vision prophétique d’un « arbre de vie » dont les feuilles « étaient pour la guérison des nations ». Cette prophétie se réalise aujourd’hui par le fait que l’extrait de la feuille d’olivier détruit plus de 125 germes pathogènes et maladies.
L’olivier peut vivre plusieurs siècles. En Terre sainte, on trouve des oliviers qui étaient présents du temps de Jésus et qui sont toujours là : dans le jardin des Oliviers. On situe l’âge du plut vieil olivier à plus de 2700 ans !
Dans la bible, on l’appelle « l’arbre de vie ». La branche d’olivier est aussi symbole de la Paix des Nations Unies.
Romains et Grecs soignaient déjà les infections et prévenaient les épidémies par des décoctions longuement mijotées du précieux feuillage. Il a même été rapporté que, pendant la guerre d’Espagne (1808-1813), les blessés français des armées de Napoléon succombaient massivement à la gangrène, alors que les soldats espagnols guérissaient rapidement et sans complications, même lorsqu’ils avaient été amputés. Les espions découvrirent que les plaies des espagnols étaient traitées avec des cataplasmes de feuilles d’olivier broyées avec de l’huile, une vieille recette de paysan parfaitement efficace.
Le principe actif à la base de ces vertus de la feuille d’olivier et de l’huile d’olivier est l’oleuropéine : c’est un flavonoïde qui est, présente en grande quantité dans la feuille d’olivier, et dont l’effet est double : elle stimule le système immunitaire et affaiblit ses principaux assaillants (bactéries, virus, parasites…).
Curieux du phénomène, les grands laboratoires pharmaceutiques ont donc lancé leurs chercheurs à l’assaut de l’olivier. Une équipe de chercheurs néerlandais a ainsi réussi à isoler l’ingrédient actif en l’occurrence l’oleuropéine, une substance appelée acide élénolique. Des études ont permis à la société pharmaceutique américaine Upjohn, d’étudier la capacité de l’acide élénolique à combattre les virus.
Selon ces études, l’acide était si puissant qu’il a détruit tous les virus testés. Ainsi, la feuille de l’olivier posséderait de véritables propriétés antivirales et aurait la capacité d’interférer dans la production d’acides aminés vitaux pour la survie des virus. Son seul problème : elle est gratuite, non brevetable dès que l’on dispose de l’extrait en poudre. L’extrait était utilisé jadis pour soigner le paludisme et autres fièvres avant la découverte de la quinine.
EXTRAIT DE LA FEUILLE D’OLIVIER ET VIRUS.
L’infection virale est un processus très complexe qui perturbe les fonctions cellulaires internes les plus complexes. Arrêter ce processus est tout aussi compliqué et les produits chimiques d’origine humaine sont extrêmement dangereux.
Un antiviral naturel tel que l’extrait de feuille d’olivier le fait miraculeusement sans poser aucun danger pour les cellules humaines. C’est en soi un exploit qui dépasse la compréhension humaine actuelle.
L’extrait de la feuille d’olivier est un antiviral naturel qui agit de cinq manières différentes(connues) contre un large spectre de virus.
Dans un document [4], le Dr James R. Privitera a décrit les actions de virucide en expliquant que l’extrait de la feuille d’olivier :
:
- Pénètre dans les cellules hôtes et bloque la réplication virale.
- Interfère avec la production par le virus des protéines dont il a besoin. (Interférence avec le détournement par le virus de la fonction cellulaire).
- Inactive les virus, empêchant leur migration des cellules infectées et leur connexion avec les membranes cellulaires.
- Arrête la production d’un rétrovirus de protéase et de transcriptase inverse – enzymes utilisées par un rétrovirus comme le VIH pour modifier l’ARN d’une cellule en bonne santé.
- Stimule la réponse du système immunitaire humain (pour détruire les virus).
En bref, les ingrédients de l’extrait de feuille d’olivier bloquent le cycle de vie d’un virus, arrêtent sa multiplication puis appellent les cellules immunitaires pour le détruire et évitant ainsi sa transmission.
Il le fait probablement à un degré plus ou moins élevé pour toute infection virale, et offre donc beaucoup d’espoir à ceux qui souhaitent éviter les infections ou à ceux qui ont besoin d’aide pour les combattre.
Ces études ont démontré des propriétés antimicrobiennes et antivirales de l’extrait de feuilles d’olivier, contenant le composé actif tel l’oleuropéine (OLE) [5]. Cet extrait s’est avéré efficace pour lutter contre une grande variété de microorganismes pathogènes, incluant bactéries, virus, parasites, champignons et moisissures. [6], [6] ;
L’oleuropéine s’est montrée même efficace contre le virus du VIH en inhibant l’entrée du virus dans les cellules du système immunitaire.
Le tendon d’Achille du SARS-Co-2, le nouveau coronavirus2019
La Covid-19, comme tous les virus, a besoin pour se multiplier de pénétrer dans l’intimité des cellules.
La découverte d’un ‘’tendon d’Achille du coronavirus (COVID-19 SARS – CoV-2) et le potentiel thérapeutique de l’extrait de la feuille d’olivier.
En effet, selon cet article de la revue scientifique Nature, publié le 24 juin 2020, des scientifiques ont identifié le “talon d’Achille” du coronavirus. C’est-à-dire, son point faible. D’après la revue, cette avancée peut sonner la fin de la partie pour le coronavirus. Elle explique que les chercheurs ont identifié la protéine que le virus utilise pour pénétrer les cellules humaines.
Ce sont des scientifiques du Centre de recherche et de la lutte contre le cancer de Seattle, dans l’Etat de Washington (Etats-Unis), qui ont fait cette découverte majeure. Il ressort des premiers résultats de leur étude que le nouveau coronavirus 2019 utilise une protéine en forme d’épine pour l’aider à se lier aux récepteurs des cellules de l’hôte . Ensuite, le virus se fond dans l’enveloppe cellulaire et commence à se multiplier et provoque la maladie du Covid-19.
La revue a révélé que les scientifiques ont réussi à modifier l’acide aminé de la protéine en question. Ils ont décrit 3 800 variations de cette protéine que le nouveau coronavirus utilise pour s’accrocher à ses cibles. Pour les chercheurs, les protéines sont “cruciales” pour le virus afin qu’il puisse établir des liaisons avec les cellules humaines.
En d’autres termes, cette découverte pourrait aider à rendre inefficace l’épine du virus et affaiblir sa capacité à se lier aux cellules humaines. “Cette découverte peut aider les chercheurs à développer des anticorps qui limitent la capacité du virus à infecter les cellules humaines”, estime la revue Nature.
Cette découverte a ainsi permis d’identifier la nature de la protéine que le virus utilise pour pénétrer les cellules humaines. Or comme mentionné ci-dessus un virus ne présente aucun danger tant qu’il ne pénètre pas dans les cellules humaines.
Ainsi donc, il faut impérativement l’empêcher de pénétrer. C’est dans ce sens que l’extrait de la feuille d’olivier peut être une solution contre le COVID 19 par certains de ses méthodes d’actions comme :
- La perturbation de l’infection virale et/ ou sa propagation en rendant les virus inactifs ou en les empêchant de se répandre, de bourgeonner, ou de s’agglutiner sur la membrane cellulaire
- La pénétration directe dans les cellules infectées et une inhibition irréversible de la réplication virale. La stimulation directe de la phagocytose comme réponse du système immunitaire.
Quels moyens supplémentaires pour renforcer les mesures barrières et pour la prévention chez les personnes à risque ?
Au-delà des mesures barrières physiques indispensables pour prévenir l’infection, des approches thérapeutiques existent également pour prévenir et empêcher les éventuelles complications susceptibles d’affecter le pronostic vital (orage ou tempête de cytokines). L’orage ou tempête de cytokine peut être une question de vie ou de mort pour le malade. En l’état actuel des problèmes liés à la prise en charge de la pandémie à COVID 19 tout doit être mis en œuvre pour réduire les risques de contamination surtout chez les personnes dites à risque.
Des études ont montrées la réduction du risque de contamination des personnes à risque comme ceux de plus de 60-65ans par la prise de vitamine D et de ZINC.
Dans un contexte où l’on peine à appliquer les mesures barrières, ces thérapies préventives ne pourront que participer au contrôle de la propagation de la pandémie de la COVID 19.
Vitamine D et Covid-19
Communiqué de l’Académie nationale de Médecine du 22 mai 2020.
Dans leur communiqué, les Académiciens expliquent que les morts du Covid-19 ont souvent une carence en vitamine D. Et ils affirment que la vitamine D, « en atténuant la tempête inflammatoire et ses conséquences », pourrait être utile pour éviter les morts du Covid-19.
« La vitamine D est une pro hormone synthétisée dans le derme sous l’effet des ultraviolets, c’est-à-dire des rayons du soleil, puis transportée dans le foie et le rein où elle est transformée en hormone active. Elle est responsable de l’absorption intestinale du calcium et de la santé osseuse.
Mais la vitamine D a aussi d’autres effets en particulier, elle module le fonctionnement du système immunitaire par la stimulation des macrophages et des cellules dendritiques. Elle joue un rôle dans la régulation et la suppression de la réponse inflammatoire cytokinique à l’origine du syndrome de détresse respiratoire aigu qui caractérise les formes sévères et souvent létales de la Covid-19. Une corrélation significative entre de faibles taux sériques de vitamine D et la mortalité par Covid-19 a été montrée [7]. Ce phénomène suit généralement un gradient Nord-Sud, bien qu’il y ait des exceptions tels les pays nordiques où la supplémentation des nutriments en vitamine D, en particulier des produits lactés, est systématique.
Par contre les pays du Sud de l’Europe affichent de façon surprenante une prévalence élevée de carence en vitamine D malgré un ensoleillement plus élevé Ceci expliquerait que les nourrissons qui reçoivent régulièrement de la vitamine D fassent des formes asymptomatiques de la COVID-19 et moins de complications.
La vitamine D ne peut être considérée comme un traitement préventif ou curatif de l’infection due au SARS-CoV-2 ; mais en atténuant la tempête inflammatoire et ses conséquences, elle pourrait être considérée comme un adjuvant.
L’Académie nationale de Médecine :
– rappelle que l’administration de vitamine D par voie orale est une mesure simple, peu coûteuse et remboursée par l’Assurance Maladie ;
– confirme sa recommandation d’assurer une supplémentation vitaminique D dans la population française dans un rapport en 2012
– recommande de doser rapidement le taux de vitamine D sérique (c’est-à-dire la 25 OHD) chez les personnes âgées de plus de 60 ans atteintes de COVID-19, et d’administrer, en cas de carence, une dose de charge de 50.000 à 100.000 UI qui pourrait contribuer à limiter les complications respiratoires
– recommande d’apporter une supplémentation en vitamine D de 800 à 1000 UI/jour chez les personnes âgées de moins de 60 ans dès la confirmation du diagnostic de Covid-19. «
Sachez que la vitamine D étant une vitamine dite du soleil, on a tendance à penser que les africains ne peuvent pas avoir de déficience. La déficience est possible dans la mesure ou l’habillement réduit la surface exposée au soleil d’une part, et d’autre part le fait que l’intensité des rayons ultraviolets baissent avec l’éloignement de l’équateur. La baisse de l’intensité des rayons UV nécessite une exposition plus longue au soleil.
COVID-19 et ZINC
Beaucoup des symptômes de la COVID-19 ressemblent à ceux d’une carence en zinc, notamment la perte de goût, de l’odorat, de la toux…etc.
Rappelons que le zinc est essentiel à plus de 300 réactions chimiques propres à notre organisme, et notamment à la réplication des cellules, indispensable pour notre immunité.
En outre, s’il y a une carence en zinc, le thymus ne secrète pas de thymuline, elle-même nécessaire à la fabrication des lymphocytes T4, sans lesquels la fonction antivirale du système immunitaire ne peut s’activer.
Sans compter qu’un article de 2010 témoigne de l’efficacité du zinc dans le traitement des formes antérieures de coronavirus [8.]
Le statut en zinc est un facteur critique qui peut influencer l’immunité antivirale. D’autant plus que les populations déficientes en zinc sont souvent les plus à risque d’infections virales, telles que le VIH ou le virus de l’hépatite C. Une abondance de preuves s’est accumulée au cours des 50 dernières années pour démontrer l’activité antivirale du zinc contre une grande variété de virus, et via de nombreux mécanismes. Il semblerait que la disponibilité des ions zinc joue un rôle important dans son efficacité antivirale.
Dans une revue de la littérature scientifique très récente intitulée « Options thérapeutiques pour le traitement du nouveau coronavirus 2019 : une approche fondée sur des preuves » [9], le zinc apparait comme une piste d’intérêt puisqu’il est mentionné que : « Le zinc aurait un effet antiviral, et il inhibe l’activité de l’ARN polymérase coronavirus (CoV) et entrave ainsi la réplication dans les expériences de culture cellulaire. Comme la tempête de cytokines est une caractéristique de la COVID-19, l’inhibition de ces cytokines pro-inflammatoires peut s’avérer théoriquement utile » [10].
Le rôle du zinc comme antiviral peut être résumé en 2 modes d’actions :
- l’amélioration de la réponse antivirale et de l’immunité chez les patients qui présentaient une carence en zinc.
- l’Inhibition de la réplication virale et des symptômes liés à l’infection. *
Les personnes âgées sont également beaucoup plus sensibles à la carence en zinc, ce qui augmente leur probabilité de contracter des infections virales potentiellement mortelles en l’occurrence. Une supplémentation de zinc journalière durant un an chez les sujets âgés (de 55 à 87 ans) a démontré une réduction de l’incidence des infections et des marqueurs du stress oxydatif plasmatique.
Le zinc fonctionne comme un modulateur de la réponse immunitaire grâce à sa disponibilité, qui est étroitement régulée par plusieurs transporteurs et régulateurs. Lorsque ce mécanisme est perturbé, la disponibilité du zinc est réduite, altérant la survie, la prolifération et la différenciation cellulaires des différents organes et systèmes, en particulier des cellules du système immunitaire.
Une carence en zinc lors de l’infection par le coronavirus pourrait donc expliquer un déficit des défenses immunitaires couplé à la survenue d’une inflammation excessive.
CONCLUSION
Des recherches scientifiques récentes ont démontré que le principe actif de l’olivier, l’oleuropeine possède d’immenses pouvoirs curatifs lorsqu’il s’agit d’éliminer les virus, les champignons, les bactéries et autres parasites cause de nombreuses maladies.
Dans ce contexte, nous avons besoin d’un agent virucide naturel aisément disponible qui n’endommage pas les cellules humaines et qui soit efficace contre tous les virus et autres germes pathogènes responsables des maladies virales. Cet agent thérapeutique existe, bien sûr, puisqu’il se trouve dans les oliviers depuis cinq ou six mille ans, mais a été considérablement négligé par la médecine moderne.
La poudre que l’on extrait des feuilles d’olivier est non seulement efficace contre les virus mais aussi contre la plupart des micro-organismes qui provoque des maladies.
Cet extrait de feuille d’olivier se présente en gélules sous le label entre autre OLIVSY® : un complément fortement titré en oleuropéine (le principe actif contenu dans les feuilles et responsable de ses propriétés). Pour que ce remède soit efficace il est cependant important de consommer un extrait de plante standardisée à 15% minimum d’oleuropéine.
Soyez bien préparé au-delà des mesures barrières contre le COVID 19 avec une solution naturelle multimillénaire qu’est l’extrait de la feuille d’olivier. En matière de prévention la vitamine D3 et le zinc sont des armes efficaces. Si comme dit l’adage mieux vaut prévenir que guérir, le zinc et la vitamine D3 sont d’excellentes approches de prévention du COVID 19.
S’il y a une solution qui ne fait pas la UNE des journaux, des radios et des télévisions, c’est celle que Dieu a pré positionnée au travers de l’olivier qui est le seul arbre qui a survécu au Déluge.
Par contre dans les médias tous les jours on parle de recherche de solutions contre la COVID-19 : pourquoi ne pas envisager une observation clinique. Dès lors que certains des premiers patients et leurs personnes contacts l’ont déjà utilisés au moment où aucun traitement n’était pratiquement dispensé et ils ont vu leur état se stabiliser.
SY SIAKA
Naturothérapeute.
78817096/ 71684232/ 75823623.
E-mail :nhi2t.syms@gmail.com
N/B : L’extrait de la feuille d’olivier, le Zinc la Vitamine D doivent être pris une certaine dose pour un maximum d’efficacité.
Bibliographie.
1–Nature 24 June — A finely detailed map reveals a viral protein’s Achilles heel. (T. N. Starr et al. Preprint at bioRxiv http://doi.org/dz8r; 2020)
2- Dr Morton Walker : L’extrait de feuille d’olivier.
3- Assessment report on Olea europea L [4], Folium de la European Medecines Agency Final (du 31 Janvier 2017 EMA/HMPC/2016 Committee on Herbal Medicinal Products- HMPC)
4-Olive Leaf Extract :A New/Old Healing Bonanza for Mankind by James R. Privitera, M.D.) Le Dr James R. Privitera
5- Syed Haris OMAR Oleuropeine in Olive and it 6 pharmacological effects. : http://dx.doi.org/10.3797/scipharm.0912-18
6-Jack Richason, ND : Olive Leaf extract-Potent Antibacterial , and Antifungal Agent.
6- Jack Richason, ND : L’Extrait de Feuille d’Olivier ; Puissant antibactérien antiviral et antifongique.
6- Michele Hansen N.D Olive Leaf Extract : Potent, Antibacterial , Antiviral , Antifungal Agent
Andrew Verity N.D, Dip H, Dip N, Dip Irid
7– McCartney DM, Byrne DG. Optimisation of vitamin D status for enhanced immune-protection against Covid-19. Ir Med J, 2020 ;113 :58
8—CORONAVIRUS COVID 19
IMPORTANCE DU ZINC DANS LA DEFENSE ANTIVIRALE
Synthèse Bibliographique du Comité Scientifique LABORATOIRE NUTERGIA
Dr Claude LAGARDE, Dr Patricia BALARD, Dr Régis GROSDIDIER
9 -The Role of Zinc in Antiviral Immunity
Scott A Read, Stephanie Obeid, Chantelle Ahlenstiel, Golo Ahlenstie
https://academic.oup.com/advances/article/10/4/696/5476413
10 Therapeutic options for the treatment of 2019-novel coronavirus: An evidence-based approach.Phulen Sarma, Manisha Prajapat, Pramod Avti,1 Hardeep Kaur, Subodh Kumar, and Bikash Medhi .https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7074432/