15 communes du Burkina Faso ne sont prises en compte pour les élections présidentielle et législatives du 22 novembre, selon une information de la radio Oméga qui avance qu’aucun bureau de vote n’a été prévu dans ces localités.
A en croire le confrère deux raisons sont invoquées: ces localités sont considérées comme des «zones rouges». La Commission électorale nationale indépendante (CENI), structure organisatrice, n’est pas donc pas en mesure de déployer ses agents électoraux à ces lieux. La deuxième raison est que les communes concernées ne sont plus habitées, les populations s’étant déplacées vers d’autres localités.
Les 15 communes concernées sont Kombori dans la Boucle du Mouhoun ; Bartiébougou, Botou, Logobou et Tansarga dans l’Est ; Kaïn dans le Nord ; Baraboulé, Diguel, Koutougou, Nassoumbou, Tongomayel, Mansila, Solhan, Tankougounadié et Titabé dans le Sahel.
Par Wakat Séra