Les brèves de ce vendredi 13 octobre portent sur le Ghana où les autorités annoncent l’assainissement du secteur des stations-services, le Kenya où la commission électorale est la cible de manifestants de l’opposition en colère et l’OTAN qui rejette l’option militaire dans la gestion de la crise nord coréenne.
Ghana: L’épée de Damoclès plane au-dessus de certaines stations-services
Ce vendredi, les autorités ghanéennes ont annoncé la fermeture de quelques stations-services repérées comme à grand risque. Ceci fait suite à l’explosion à Accra de deux stations-services en fin de la semaine dernière tuant sur place sept personnes et faisant 132 blessés. Selon RFI qui cite les autorités locales ghanéennes, neuf incidents du genre se sont produits en trois ans dont le plus meurtrier est advenu en juin 2015, faisant plus de 150 morts.
Kenya: La commission électorale passe par le purgatoire de la rue
L’opposition a investis les principales villes du Kenya ce vendredi nonobstant l’interdiction du gouvernement, pour manifester et réclamer des reformes dans le cadre des présidentielles du 26 octobre. Les manifestations du genre visant notamment la commission électorale sur qui pèse la cause des fraudes ont commencé depuis l’annonce des résultats en août dernier mais réprimées à coup de fusils et de gaz lacrymogène par les forces publiques.
Crise Nord-coréenne: L’OTAN contre l’option militaire
Questionné ce vendredi sur la fougue guerrière affectionnée par le président américain Donald Trump à propos de la crise nord-coréenne Jens Stoltenberg secrétaire général de l’organisation du traité de l’Atlantique Nord (l’Otan) a répondu à l’agence française de presse (l’AFP) qu’une intervention militaire en Corée du Nord aurait des conséquences dévastatrices. Ainsi, met-il la maison blanche en garde contre l’option militaire.
Joseph AKOUTOU (Stagiaire)