L’agent de santé à la retraite, Dieudonné Sawadogo, a reçu, ce mardi 31 décembre 2024, à Ouagadougou, un chèque de 79 926 500 francs CFA, après son gain au 4+1 du Pari Mutuel Urbain (PMU) de la Loterie nationale burkinabè (LONAB) le 29 novembre dernier, lors d’une cérémonie de remise présidée par le directeur de l’audit interne de la Nationale des jeux de hasard, Séraphin Kiéma, représentant le premier responsable de la structure.
Les dirigeants de la Loterie nationale burkinabè (LONAB) ont procédé, ce mardi 31 décembre 2024, à la remise d’un gros lot, à un agent de santé admis à la retraite, au cours d’une cérémonie ponctuée par des discours, la remise proprement dite et des photos de famille, au siège de la structure à Ouagadougou. « Nous sommes réunis ici pour témoigner de la chance exceptionnelle qui a souri à notre gagnant. Monsieur Sawadogo Dieudonné, votre confiance et votre persévérance en notre jeu ont été récompensées, certainement avec une bonne dose de préparation et d’audace. Vous vous êtes dit, c’est mon jour de chance peut-être », a déclaré Séraphin Kiéma, directeur de l’audit interne de la LONAB qui a lu le discours du premier responsable de la structure, Ibrahim Ben Harouna Zarani.
Ce gain, a-t-il poursuivi, est le fruit « d’un concours de circonstances, mais aussi le symbole de la multitude d’opportunités que le Pari mutuel urbain burkinabè offre à chacun d’entre nous de réaliser ses rêves, ses projets ». Vous empochez aujourd’hui la somme de 79 926 500 F CFA, après avoir trouvé les bonnes combinaisons, l’ordre et le bonus y compris, lors du 4+1 du vendredi 29 novembre 2024. Et vous voici sur le point de débuter une nouvelle vie après une carrière bien remplie en tant qu’agent de santé », a enchainé Séraphin Kiéma.
M. Kiéma a expliqué que la LONAB, au-delà des jeux qu’elle organise, est un vecteur de développement pour le Burkina Faso parce que les recettes générées par les jeux de la société contribuent à financer de nombreux projets d’intérêt général. « Nous sommes profondément ancrés dans notre responsabilité vis-à-vis de nos communautés en investissant au profit de tous », a-t-il soutenu, réitérant les remerciements du DG de la LONAB à l’endroit de leurs clients pour leur fidélité. « Votre participation est essentielle à la pérennité de notre entreprise et au développement de notre pays », a-t-il laissé entendre. Il faut noter dans ce sens que la devise de la LONAB est: « Les lots aux gagnants, les bénéfices au Faso ».
Au gagnant, Dieudonné Sawadogo, il a adressé ses félicitations et lui souhaité de faire un bon usage de son argent. « Que cette nouvelle vie vous apporte tout le bonheur que vous méritez. Que Dieu vous donne la grâce de trouver les voies et moyens pour faire en sorte que ce gain vous profite d’abord, profite à votre famille et profite à la nation », a-t-il prié.
Le représentant du premier responsable de la LONAB a saisi l’occasion pour lancer une fois de plus un appel à tous ceux qui hésitent toujours, à jouer, à tenter leur chance, car « avec la LONAB, on gagne toujours ». En plus des autres produits, il a invité les parieurs à jouer et gagner de nombreux lots avec le Faso Loto 5/90, le nouveau jeu en ligne de la LONAB à travers la plateforme www.fasoloto.bf.
L’agent de santé à la retraite, Dieudonné Sawadogo, joue depuis 1992, soit 32 ans, aux jeux de la LONAB. Selon ses dires, il n’avait pas encore gagné un gros montant jusqu’à ce jour. Il a affirmé que le 29 novembre, c’est avec une mise de 1 800 FCFA qu’il a parié sur deux combinaisons de grands carnets. Et, c’est cet acte qui va totalement changer sa vie désormais. « Je suis ému ! Les mots me manquent ! Je vais investir utile au profit de mon pays, de mon village », a-t-il fait savoir.
Mais quels sont les projets qui ont tapé à l’œil de M. Sawadogo pour ses futurs investissements ? « Chaudement comme ça, je ne peux pas vous dire dans quoi je vais investir. J’ai beaucoup réfléchi et j’ai beaucoup de choses à faire avec ça (argent) ».
Comme conseil à l’endroit des autres parieurs, il leur a dit d’être « audacieux » car « La LONAB, ça ne ment ».
Par Bernard BOUGOUM
