C’est aux pas de charge que le président du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS-Tarayya), Mohamed Bazoum, poursuit sa tournée de proximité, qui l’a conduit, ce mardi 6 octobre, successivement à Djirataoua, Safo, Gabi et Madarounfa, quatre communes de la région de Maradi. Dans des animations et des allocutions qui, loin des cérémonies protocolaires, avaient plutôt l’allure de réunions de famille où sont discutées, dans un langage de vérité, les affaires «intérieures», les populations et leur hôte ont revisité le bilan du chef de l’Etat du Niger, Mahamadou Issoufou, et ont surtout regardé, ensemble, vers «l’avenir radieux» que leur promet le PNDS-Tarayya.
Ils se sont vus, ils se sont parlés et ils se sont compris. C’est le constat qui se dégage du séjour, 24H chrono, de El Hadj Mohamed Bazoum, dans les quatre communes de Maradi, notamment, Djirataoua, Safo, Gabi et Madarounfa. De boubou blanc vêtu, coiffé de son habituel bonnet rouge grenat, le président du Parti nigérien pour la démocratie et le socialisme (PNDS-Tarayya) est resté collé à son discours, où franchise et humilité, ont fait corps pour rassurer des populations heureuses d’accueillir, celui qu’elles entendent porter, le soir du 27 décembre prochain, au palais présidentiel de Niamey. S’ils n’ont pas manqué d’égrener un chapelet de doléances, qui vont de la réhabilitation de certaines pistes rurales, à l’accès à l’eau potable, en passant par le bitumage de routes, les habitants des communes qui font désormais partie des plus de 160 communes déjà visitées par Mohamed Bazoum.
Et c’est avec «un seul cœur», comme ils l’ont affirmé, que les hôtes du jour, ont réitéré leur «soutien indéfectible» au dauphin du chef de l’Etat nigérien, Mahamadou Issoufou. Comme les vieux et les jeunes, les femmes qui n’ont pas marchandé leur participation aux rencontres de proximité du chef du parti qui voit la vie en rose. Elles ont, du reste, saisi l’opportunité, pour demander à l’épouse du président du PNDS-Tarayya, Hadja Hadiza Bazoum, de plaider et d’œuvrer, pour l’amélioration de leurs conditions de vie.
«Say Bazoum, say Bazoum». Sur ce rythme chanté par tous, les populations des quatre communes, ont, elles aussi, exprimé leur vœu devenu l’un des plus chers pour elles, à l’orée de l’élection présidentielle: «Bazoum ou rien». L’histoire d’amour et de raison avec ses «frères et sœurs», l’ancien ministre de l’Intérieur de Mahamadou Issoufou, ne la trouve que juste reconnaissance des relations de confiance qui ont toujours existé entre le président nigérien et son peuple. Et c’est fort de cela que, celui sur lequel s’est porté le choix du parti au pouvoir pour continuer à le faire grandir, avec les ambitions du peuple, a énuméré, les réalisations qui ont opéré la mue du Niger, en 8 années de leadership de Mahamadou Issoufou, et du PNDS-Tarayya. Les forages et adductions d’eau potable installés presque partout pour soulager les populations de la corvée d’eau, les grandes routes construites et bitumées pour contrer le désenclavement et ouvrir les voies du développement, les écoles et centres de santé érigés et équipés, les actions concourant à la consolidation de la paix et de la cohésion sociale, etc., autant d’acquis cités par Mohamed Bazoum. «Mais, beaucoup reste à faire», a reconnu avec humilité, «B21» qui a annoncé, dans le futur, des actions tout aussi décisives dans la santé, l’éducation, la sécurité alimentaire, etc.
Ainsi va le quotidien de «Mohamed Bazoum, Président 2021, Insh Allahou».
Par Wakat Séra
