Des tirs d’armes ont été entendus, le mercredi 28 février 2024, à Ndjamena aux alentours des bureaux d’un parti de l’opposition politique tchadienne, selon l’Agence France presse (AFP).
Des tirs sporadiques d’armes de combats militaires ont été entendues, dans l’après-midi de ce mercredi 28 février 2024, à Ndjamena, selon l’Agence France presse (AFP).
Résonnant autour des abords du Quartier général (QG) d’une formation politique nationale d’opposition, les tirs d’armes lourdes se sont fait entendre également sur d’autres sites particuliers de la capitale tchadienne.
Un responsable du Parti socialiste sans frontière (PSF) qui a souhaité rester dans l’anonymat a, en effet, fait état de tirs de fusils kalachnikov et de grenades lacrymogènes dans la ville.
Pour rappel, le PSF est accusé par le pouvoir de Ndjamena d’avoir tenté, mi-février dernier, d’assassiner le président de la Cour suprême du Tchad.
Dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 février 2024, une attaque a visé des bureaux de l’Agence nationale de sécurité de l’Etat, faisant «plusieurs morts» à N’Djamena.
Communiqué du gouvernement
Par Lassané SAWADOGO (Stagiaire)
