Au soir de la dernière étape longue de 129,5 Km, disputée entre Kombissiri et Ouagadougou, le 7 novembre 2021, tous les acteurs de la compétition internationale de cyclisme se sont retrouvés sur le site du SIAO pour la nuit des récompenses.
Aux moult batailles livrées à coups de pédales rapides, d’échappées furieuses et de sprints interminables, a succédé, ce dimanche, la nuit des récompenses.
Les coureurs ont tombé le maillot et le casque de protection pour le blue-jeans et le costume, tout comme les hommes et femmes des médias ont opéré une mue immédiate avec la disparition par enchantement de leurs casquettes qui les distinguaient des cyclistes et du nombreux public de ce Tour du Faso. Et c’est la salle feutrée du SIAO qui a accueilli ce beau monde, pour des moments agréables faits de reconnaissances et de promesses de se revoir à l’occasion du Tour du Faso 2022.
Durant cette soirée de récompenses ponctuée de prestations musicales, tour à tour les gagnants des différentes étapes ont reçu leurs prix et distinctions. C’est dans cette belle ambiance que la Banque Commerciale du Burkina (BCB), votre banque, représentée au plus haut niveau, par son Directeur général, Bashir Karwa entouré de ses collaborateurs, s’est vue, pour sa part, décerner un trophée pour son engagement aux côtés du comité national d’organisation, au titre de «la banque du Tour Du Faso 2021».
En rappel, la BCB faisait partie des six sponsors privilégiés partenaires de maillots et a donc ainsi offert un maillot au 1er Burkinabè classé à chaque étape.
Toutes les entités, toutes commissions confondues, ayant œuvré à la réussite de l’organisation de cette édition du Tour Du Faso ont été honorées. Les hommes de médias, le trio d’animateurs, ainsi que la très efficace équipe des Forces de défense et de sécurité ont été distingués.
Le président de la Fédération burkinabè de cyclisme, Ignace Amédée Berewoudougou et le comité d’organisation ont réussi le pari de la tenue de la 33e édition qui a pris fin, sans coup férir, sur une note de satisfaction générale. Et comme la pratique des deux-roues est ancrée dans les habitudes des Burkinabè, on continuera de voir, sur les routes des villes et campagnes, des milliers de cyclistes anonymes, perpétuant ainsi la tradition du vélo, chère au Burkina Faso.
Par Wakat Séra