Sa plume sobre en a fait l’un des journalistes burkinabé les plus connus dans la sphère panafricaine au même titre qu’un Michel Lobé de Forbes Afrique, qu’un Éric Yindu de Vox Africa, qu’un Chérif Aidara de Confidentiel Afrik, qu’un Mamadou Lamine Diatta du Soleil ou encore, puisqu’il faut les nommer, un Louis Kemayo, une Dounia Ben Ahmed, un Balla Moussa Keïta et un Stephane Ballong, monstres sacrés de la sémillante et légère brigade médiatique africaine de Paris.
Bref, Morin Yamongbe appartient à cette génération prolifique de journalistes africains au long cours qui, des charmes surannés de Bobo Dioulasso à l’enfer Innommable de Gaccorra, relatent la nouvelle Afrique avec conviction et cette graine de sel ou de passion qui les différencient des robots agrégateurs de Google.
En lançant Wakat Sera ( www.wakatsera.com), site en ligne, déjà riche et bien agencée, avec un ton nouveau et des déclinaisons audacieuses, l’homme des médias livre un nouvel instrument de mesure d’actualité à la disposition des leaders d’opinion et des opérateurs économiques. S’il est convenu de dire que ce site d’informations rattrape en densité ce qu’il perd en étendue géographique, Il serait en revanche hasardeux de ne pas souligner son sens de l’esthétique et son à propos qui annonce le génie du journaliste sans denier les qualités humaines de l’homme, synthèse des identités remarquables Mossi et Moré.
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